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 | vic$2008132 Vic 30/11/2008 :: 22:39 
Cap'taine Floodeur en herbe (83)


| | Kes que la crise...par victor vespiste.
La crise..un putain de bordel venu d'ailleurs! Malgré ça, tout ce qu'on est, une seule chose, se soigner. Pas de remède idéal, le doliprane ne fait pas grand chose...Une seule solution PARTICIPER à la crise! KE FAIRE??
1ere solution: sortir toutes vos liquidités des banques, j'ai bien dit TOUT. Se réunir chez moi pour, j'ai bien dit POUR, tout y flamber, auprès d'un bon verre de cognac!
2eme solution: laisser vos lquidités dans les banques, et laisser, j'ai bien dit LAISSER, le banquier y bouffer à votre place. Bien sur auprès d'un bon verre de champagne!
3eme solution: sortir vos liquidités des banques, et ramenez y tout à la croix rouge MARIE FRANCE s'en occupera!
Mais bien sur tout cela est une solution que je partage avec moi même... LE MOT DE LA FIN Nul sert de croire ce que je dit, mais croire ce que j'ai bu!
merci
pour une dédicace, rdv 9ème quai, jean vous offrira la jaja, et vous y verez plus clair! | |
 | petitmarco$2006290 Petitmarco 30/11/2008 :: 22:41 
certains y vont...moi, j'en viens...mais si ça continue, j'y retourne! King Team (2596)


| | ouarf !!
1 ére solution pour moi !! | |
 | fifi$2004320 Fifi 30/11/2008 :: 23:01 
votre serviteur King Team (3967)


| | Réalisé avec jaja  | | | XD ptdr lol |
 | PUNKSNOTDEAD$2008152 Punksnotdead 01/12/2008 :: 11:37 
god save the queen Silver Team (1548)


| | Réalisé avec absinthe, pour toi mon Vic :
Ils buvaient de l' absinthe, Comme on boirait de l' eau, L' un s' appelait Verlaine, L' autre, c' était Rimbaud, Pour faire des poèmes, On ne boit pas de l' eau, Toi, tu n' es pas Verlaine, Toi, tu n' est pas Rimbaud, Mais quand tu dis "je t' aime", Oh mon dieu, que c' est beau, Bien plus beau qu' un poème, De Verlaine ou de Rimbaud,
Pourtant que j' aime entendre, Encore et puis encore, La chanson des amours, Quand il pleut sur la ville, La chanson des amours, Quand il pleut dans mon coeur, Et qu' on a l' âme grise, Et que les violons pleurent, Pourtant, je veux l' entendre, Encore et puis encore, Tu sais qu' elle m' enivre, La chanson de ceux-là, Qui s' aiment et qui en meurent, Et si j' ai l' âme grise, Tu sécheras mes pleurs,
Ils buvaient de l' absinthe, Comme l' on boit de l' eau, Mais l' un, c' était Verlaine, L' autre, c' était Rimbaud, Pour faire des poèmes, On ne boit pas de l' eau, Aujourd'hui, les "je t' aime", S' écrivent en deux mots, Finis, les longs poèmes, La musique des mots, Dont se grisait Verlaine, Dont se saoulait Rimbaud,
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 | easy74$2008114 Easy74 03/12/2008 :: 00:12 
king of driving school Flood Team (799)


| | ouah barbara au ! | | | qui avale une noix de coco fait confiance a son anus |
 | petitmarco$2006290 Petitmarco 03/12/2008 :: 18:52 
certains y vont...moi, j'en viens...mais si ça continue, j'y retourne! King Team (2596)


| | j'en suis tout chose ...  | |
 | jean$2008259 Jean 04/12/2008 :: 00:22 
Mortel le miel LAPICOLE Silver Team (1112)


| | 1 fois n'est pas coutume..
Avis aux littéraires!
" Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien. Avec cette pleine puissance, en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France, de l'Europe peut-être; Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire. Dieu sait pourtant que le Président se démène : il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité ; c'est le mouvement perpétuel ; mais, hélas ! cette roue tourne à vide. L'homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère est un carriériste avantageux. Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui l'argent, l'agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort. Il a des caprices, il faut qu'il les satisfasse. Quand on mesure l'homme et qu'on le trouve si petit et qu'ensuite on mesure le succès et qu'on le trouve énorme, il est impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise. On y ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds, lui rit au nez, la brave, la nie, l'insulte et la bafoue ! Triste spectacle que celui du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé." Victor HUGO, dans ' Napoléon, le petit ' (Réédité chez Actes Sud)
Vous pensiez à qui ?
| | | http://picasaweb.google.fr/9equai |
 | pascalou$2008134 Pascalou 04/12/2008 :: 10:09 
Power-Floodeuse (106)


| | sarko, le nabot leon du 21 éme siecle... | |
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